Marche populaire de Dietwiller
Tout le samedi dans les achats (en prévision de la pose du parquet) et dans les retouches de peinture avec Michel. Je suis raide-morte depuis plusieurs jours. Michel n'insiste pas vraiment et sait que je suis sur les rotules, mais je sais qu'il a envie de bouger. Soit, dimanche matin, on part pour Dietwiller. Je prévois deux heures et un rythme soutenu. Prévision vouée d'emblée à l'échec, c'est en trois heures que j'arrive écroulée à la voiture. Entre champs de maïs et champs de blé, quasiment aucun petit coin de forêt fraîche, j'ai fini par marcher avec un chemisier sur la tête. J'ai eu du mal à m'en remettre dans l'après-midi, il m'a fallu une double dose d'aspirine pour réémerger du bain de soleil (placé à l'ombre évidemment !) dans l'après-midi pendant laquelle mon activité s'est strictement cantonnée à dresser mes orteils en éventail.
Les vacances approchent. Le 14-15-16, on pose le parquet avec papa et on met la touche finale à la chambre, le 22, je prends la route pour la Drôme - je ne sais toujours pas exactement où est-ce que Michel a loué le Gîte et à vrai dire, je m'en fous totalement ! Au moins j'aurai la surprise...
Les vacances approchent. Le 14-15-16, on pose le parquet avec papa et on met la touche finale à la chambre, le 22, je prends la route pour la Drôme - je ne sais toujours pas exactement où est-ce que Michel a loué le Gîte et à vrai dire, je m'en fous totalement ! Au moins j'aurai la surprise...