Marche populaire de Pfaffenheim

Publié le par Cathie S.

Dimanche matin, en route pour la Pfaffenheim, dans le vignoble. Le soleil merveilleux est au rendez-vous, il ne devrait pas faire trop chaud. Il vaut mieux. Le vignoble sous un soleil de plomb, c'est intenable, c'est une véritable fournaise, tant le sol calcaire enmagasine et réverbère la chaleur et la réverbère. Et s'il n'y a pas de vent, l'odeur désagréable des produits de traitement qui se conjugue à la chaleur rend l'air irrespirable. Mais aujourd'hui, rien de tout cela, c'est un plaisir.

Après les deux premiers kilomètres, comme toujours, on arrive au premier contrôle, dit aussi "contrôle gratuit". Là, on y reçoit, sur présentation de son ticket de participation, une boisson (au choix - eau, sirops, café, infusion ou bouillon en hiver) et des petits gâteaux secs et des bonbons. A Pfaffenheim, les petits fours étaient faits maison (wahou... grand luxe !).

Le succès du premier contrôle est évident : (photo à suivre)

Arrive ensuite le second contrôle où il est toujours possible de manger sur place. Bien pratique pour s'éviter d'emmener tout le pique-nique dans le sac à dos. En plus, le fait de consommer accroît d'autant les bénéfices de l'association organisatrice, donc, si cela arrange tout le monde, pas d'hésitation.

Le trajet du retour nous a fait passer à Notre Dame du Schauenberg, lieu de pélerinage connu (comme le Mont Sainte Odile dans le Bas-Rhin). C'est bien dommage que notre plaine d'Alsace traîne presque toujours avec elle, surtout si le temps est magnifique et s'il n'y a pas d'orage à venir, un petit voile laiteux qu'elle hésite tant à lever. Elle est belle notre plaine, mais elle se mérite. Pour la scruter il faut prendre de la hauteur encore et encore. Mais quand on a la chance une seule fois de voir les Alpes suisses et autrichiennes depuis le Grand Ballon, on en rêve à vie et on croise les doigts pour d'autres chances à chacun de ses passages en altitude.

(photo à suivre).

Publié dans marches

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