Un week-end pourri ?

Publié le par Cathie Schwindenhammer

De temps à autre il faut avoir l'impression d'une foirade complète ne serait-ce que pour mieux apprécier à leur juste valeur d'autres moments plus réjouissants. Le week-end a commencé samedi matin avec un pépin de chaudière. Le genre de pépin qui génère toujours beaucoup d'énervement !! Visiblement, le système de chauffage est hors service et nous chauffons toujours (au moment où je rédige ces lignes) toute la maison avec la cheminée. C'est  un peu faible. Nous décidons ensuite de partir pour Lörrach pour une après-midi shopping avec pêche aux idées de cadeaux de Noël. Nous rentrons fatigués, mais bredouilles.

Dimanche matin, un shampoing de moquette (heureusement que je n'en ai qu'une dans toute la maison) et du petit bricolage. Et oh miracle, Michel me descend enfin les géraniums qui pendaient lamentablement grillés par le froid, depuis trois semaines déjà, sans qu'une bonne âme veuille bien s'en occuper. Michel commence enfin à déballer le sapin de Noël (en plastique).

Dimanche après-midi, un concert avec la chorale Namasté. Je suis à la gratte avec Jean-Christophe sur 4 chants qui marchent comme sur des roulettes. Le concert est sympathique, ambiance bon-enfant, même si le répertoire manquait cruellement d'ambition à mes yeux. Il est vrai que Colette, notre chef de choeur avait essentiellement fait travailler les enfants qui étaient au centre de la représentation. Forcément, le niveau était adapté à la moyenne d'âge d'environ 8-9 ans. A ce titre-là, on peut considérer que c'était une réussite.

Au retour, vers 16 h 30, suite de la décoration de Noël car je décide au dernier moment que je veux encore un vrai petit Nordman de 80 cm en plus du sapin en plastique. Petit saut à Casto puis à Truffaut... Voilà. Nous avons donc cette année deux sapins de Noël dans le séjour, chacun dans un genre différent. De quoi mettre fin à la polémique usuelle "On fait un vrai sapin cette année ou on prend celui en plastique ?"

Après avoir rendu compte de ce qu'on a fait, je me demande : pourquoi ai-je donc l'impression d'avoir "râté le week-end" ? A bien y réfléchir, ce n'était pas si dramatique que ça...

Publié dans divers

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